Une histoire de l'Everest
EAN13
9782344052464
ISBN
978-2-344-05246-4
Éditeur
Glénat Livres
Date de publication
Collection
UNE HISTOIRE DE (1)
Nombre de pages
192
Dimensions
24,8 x 17,5 x 1,7 cm
Poids
520 g
Langue
français
Fiches UNIMARC
S'identifier

Une histoire de l'Everest

De

Glénat Livres

Une Histoire De

Offres

Il y a soixante-dix ans, Tenzing Norgay et Edmund Hillary se dressaient à son sommet. Voici une histoire de la plus haute montagne du monde devenue un mythe : l'Everest.

Depuis 1953, l’histoire de l’Everest n’a cessé de nourrir les imaginaires. À ce superlatif de l’altitude ont répondu une débauche d’aventures de toutes natures, de diverses importances. Ridicules, pathétiques, merveilleuses, sublimes, folles, mensongères, humbles, des milliers d’ascensions ont fait de l’Everest autre chose qu’une montagne : un mythe.

On découvrira dans cet ouvrage l’oxygène, les grands corbeaux, les descentes en parapente, les montées en courant, les insectes les plus hauts, les premières femmes, les pionniers, les vaincus de l’altitude, les faussaires, les Sherpas, les cordes fixes, le Yeti… Une saga tel un feuilleton, avec sa galerie de personnages hauts en couleurs, leurs exploits, leurs grandeurs et décadences.

On assistera à la victoire des uns, à la défaite des autres, on rencontrera les fantômes qui hantent la montagne, les divinités qui reposent dans les monastères, on entendra le souffle des yacks, l’hyperventilation des alpinistes en mal d’oxygène. Il y aura des extases au sommet avec des cadeaux déposés dans la neige : chocolat, buste de Mao, statue de Bouddha. On s’étonnera du premier tweet depuis le sommet, des messages codés à l’adresse de Buckingham. On verra un hélicoptère se poser au sommet, un autre se crasher au camp de base. On entendra le chant des cantonniers de l'Icefall et le bruissement des dollars.

Le livre terminé, le lecteur aura été emporté pendant des heures sur la terre la plus hostile et la plus sublime qui soit. Le seul territoire où il est indiqué que dans la liste des « choses » à incinérer se côtoient le papier toilette et les cadavres humains. Mais aussi le seul lieu où chaque être peut exercer cette liberté d’atteindre consciemment la frontière délicieuse et dangereuse que d’aucuns ont surnommée « la zone de la mort ».
S'identifier pour envoyer des commentaires.

Autres contributions de...

Plus d'informations sur Jean-Michel Asselin