- EAN13
- 9789042946460
- ISBN
- 978-90-429-4646-0
- Éditeur
- PEETERS
- Date de publication
- 26/10/2021
- Collection
- ARISTOTE. TRADU
- Nombre de pages
- 475
- Dimensions
- 24 x 16 cm
- Poids
- 760 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Offres
-
Vendu par Librairie Graine de livres Valdahon86.92
-
Vendu par Librairie Graine de livres Baume Les Dames86.92
Quelque nombreuses et quelque influentes qu’elles soient par ailleurs,
les vues d’Aristote sur le langage se caractérisent à la fois par leur
hétérogénéité et par leur marginalité. Sans faire nulle part du langage
et de la signification l’objet d’une investigation autonome et
méthodique, Aristote multiplie les remarques et les digressions à leur
sujet, que ce soit dans ses écrits d’éthique et de politique ou dans ses
traités d’histoire et de philosophie naturelle, ou encore dans ses
manuels de dialectique, de poétique et de rhétorique.
Face à l’abondance de ces matériaux et aux difficultés qu’ils présentent
du fait de s’offrir au lecteur en ordre quelque peu dispersé, « Le
langage. Lectures d’Aristote » fait le choix d’indexer l’étude du
langage chez Aristote sur des passages précis du corpus en ne posant aux
textes aristotéliciens d’intérêt linguistique que les questions
auxquelles ces mêmes textes – tantôt pris isolément, tantôt mis en
relation les uns avec les autres – apportent une réponse.
les vues d’Aristote sur le langage se caractérisent à la fois par leur
hétérogénéité et par leur marginalité. Sans faire nulle part du langage
et de la signification l’objet d’une investigation autonome et
méthodique, Aristote multiplie les remarques et les digressions à leur
sujet, que ce soit dans ses écrits d’éthique et de politique ou dans ses
traités d’histoire et de philosophie naturelle, ou encore dans ses
manuels de dialectique, de poétique et de rhétorique.
Face à l’abondance de ces matériaux et aux difficultés qu’ils présentent
du fait de s’offrir au lecteur en ordre quelque peu dispersé, « Le
langage. Lectures d’Aristote » fait le choix d’indexer l’étude du
langage chez Aristote sur des passages précis du corpus en ne posant aux
textes aristotéliciens d’intérêt linguistique que les questions
auxquelles ces mêmes textes – tantôt pris isolément, tantôt mis en
relation les uns avec les autres – apportent une réponse.
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