- EAN13
- 9782377352203
- ISBN
- 978-2-37735-220-3
- Éditeur
- Archipoche
- Date de publication
- 07/11/2018
- Collection
- Essais, documents
- Nombre de pages
- 320
- Dimensions
- 17,8 x 11 x 1,8 cm
- Poids
- 188 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Fils d’un boulanger d’Arras, Vidocq (1775-1857) est tour à tour délinquant, soldat, déserteur, bandit et forçat. Évadé du bagne, il trahit le « milieu » en échange d’une amnistie et se fait engager comme agent secret dans la police, c’est-à-dire comme mouchard. Son zèle y fait merveille. Audacieux, séducteur, machiavélique, il ne recule devant aucun danger.
Placé en 1812 à la tête de la brigade de Sûreté, il invente la police judiciaire. Mais ses méthodes sont crapuleuses, ses agents sans scrupules, ses ennemis nombreux et sa fortune suspecte. De scandales en réhabilitations, d’arrestations en procès à grand spectacle, il survit pourtant à tous les régimes et crée la première agence de détectives privés de l’Histoire. Son rôle équivoque, en 1848, lui sera fatal : le Second Empire l’ignore, son destin rocambolesque prend fin. Sa légende, elle, ne fait que commencer.
Le succès de ses Mémoires, en octobre 1828, avait été considérable, et son prestige d’autant plus grand auprès des Balzac, Hugo ou Dumas. Mais Vidocq crie à la falsification. Les volumes suivants ne passent même pas entre ses mains et sont truffés d’inventions. Sans compter les récits fantaisistes qui envahissent les librairies !
Cet ouvrage est la reprise du texte original rédigé par Vidocq, sans les ajouts apocryphes. Un document présenté et annoté par Roger Martin, qui offre une immersion saisissante dans le monde du crime au début du XIXe siècle.
Placé en 1812 à la tête de la brigade de Sûreté, il invente la police judiciaire. Mais ses méthodes sont crapuleuses, ses agents sans scrupules, ses ennemis nombreux et sa fortune suspecte. De scandales en réhabilitations, d’arrestations en procès à grand spectacle, il survit pourtant à tous les régimes et crée la première agence de détectives privés de l’Histoire. Son rôle équivoque, en 1848, lui sera fatal : le Second Empire l’ignore, son destin rocambolesque prend fin. Sa légende, elle, ne fait que commencer.
Le succès de ses Mémoires, en octobre 1828, avait été considérable, et son prestige d’autant plus grand auprès des Balzac, Hugo ou Dumas. Mais Vidocq crie à la falsification. Les volumes suivants ne passent même pas entre ses mains et sont truffés d’inventions. Sans compter les récits fantaisistes qui envahissent les librairies !
Cet ouvrage est la reprise du texte original rédigé par Vidocq, sans les ajouts apocryphes. Un document présenté et annoté par Roger Martin, qui offre une immersion saisissante dans le monde du crime au début du XIXe siècle.
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