Le jour où l'entrepreneuriat m'a sauvé la vie

Enfant, je ne rêvais pas d’être riche, j’espérais juste ne plus être pauvre.Je n’ai pas fait de longues études. Je n’ai jamais écrit le moindre CV. Je n’ai jamais signé de CDI. Pourtant, j’ai gagné plusieurs millions d’euros en créant des sociétés dans des domaines tels que la sécurité, la presse, le cinéma, le spectacle, et récemment l’immobilier à l’international.J’étais un « essayiste », un homme qui a juste essayé de faire des choses. Je suis devenu un créateur de richesse, un entrepreneur, un coach, un mentor qui aspire à partager avec vous ses plus grandes richesses : son savoir et son expérience.Découvrez quelques conseils qui m’ont permis d’aider le GOSSE que j’étais à devenir un BOSS.Kamel Bahaj est l’aîné d’une famille de sept enfants de parents d’origine marocaine. En 2001, à Oissery en Seine-et-Marne, ville où il a passé sa jeunesse, il devient champion de France de kickboxing amateur, catégorie super lourds, et reçoit pour ce titre la médaille de l’Assemblée nationale. À partir de 2002, il suit une formation de journaliste au sein du groupe Hachette Filipacchi Médias ; sept ans de scoops et de potins qui s’achèvent à la direction du service photo. En 2008, il intègre le Studio Pygmalion, une structure de coaching d’acteurs. Il fait plusieurs apparitions au cinéma et à la télévision avant d’écrire (avec Wad Maddouri), de mettre en scène et de jouer son premier One-man-show, Vie de merde, en 2011, au Théâtre Montmartre Galabru. Il décroche ensuite des rôles importants au cinéma, notamment dans La Désintégration de Philippe Faucon, film présenté au 68e festival de Venise.Kamel Bahaj est aujourd’hui co-fondateur et directeur du département France et Dubaï de Trotters Real Estate International à Londres et directeur du département immobilier neuf de la société LA MAISON DUBACH.Découvrez également son puissant témoignage : La richesse du pauvre